Mesures COVID19

Bon Retour

C’est toujours avec le sourire mais celui-ci caché par un petit masque devenu indispensable, que nous pourrons enfin vous accueillir dès ce lundi 8 juin pour vous  chers compatriotes et dès le lundi 15 juin pour vous amis étrangers .
Un salut des pieds et vous voilà chez vous le temps de votre séjour en notre Gîte.
Vous apprécierez le calme et la propreté (nettoyage au savon et à la javel des sanitaires et cuisine, désinfection des poignées, surfaces et autres, délai de 3 jours entre chaque hôte…) des lieux.
Bienvenue ou bon retour au Gîte « les Hauts du Foyau »

 

It is always with a smile but this one hidden by a small mask become indispensable, that we can finally welcome you this Monday, June 8 for you dear compatriots and Monday, June 15 for you foreign friends .
A greeting from the feet and you are home for the time of your stay in our Gîte.
You will appreciate the calm and cleanliness (cleaning with soap and bleach of the sanitary and kitchen, disinfection of the handles, surfaces and others, 3 days delay between each host…) of the place.
Welcome or welcome back to the Gîte « les Hauts du Foyau »

Hôpital Notre-Dame à la Rose

Gîte les Hauts du Foyau, Hôpital Notre Dame de la Rose

L’Hôpital Notre-Dame à la Rose situé à Lessines est classé depuis 1940 comme patrimoine exceptionnel de Wallonie. Cette ancienne institution hospitalière a été fondé en 1242 par Alix de Rosoit, veuve d’Arnould IV d’Audenaerde, seigneur de Lessines et grand bailli de Flandre. Lessines est à ce moment une ville en pleine expansion et l’hôpital va rapidement bénéficier d’importants privilèges et donations.

L’Hôpital Notre-Dame à la Rose est un des derniers exemples de site hospitalier autarcique complet avec sa ferme, ses jardins, sa glacière et son cimetière, à côté des bâtiments conventuels et hospitaliers, le tout traversé par la rivière, la Dendre. Il est le témoin du mode de fonctionnement des hôpitaux du Moyen Age. Cet hôtel-Dieu est exceptionnel par l’état de conservation de l’ensemble du site, par la diversité des constructions et par la richesse des collections artistiques, pharmaceutiques et médicales, présentées dans leur cadre authentique. Les bâtiments actuels, réaménagés entre le 16e et le 18e siècles, forment un harmonieux quadrilatère autour du cloître et de son jardin intérieur. Ces bâtiments sont marqués par différents styles : gothique tardif pour le cloître, baroque pour la chapelle et le portail de la façade principale, Renaissance Flamande pour les façades animées de pignons à gradins.

L’Hôpital Notre-Dame à la Rose de Lessines avait pour vocation de soigner les plus pauvres d’entre les malades. Et, aussi incroyable que cela paraisse, l’institution a pu jouer son rôle jusqu’en 1980, grâce à la présence ininterrompue de la communauté des religieuses augustines.  Selon les conceptions anciennes, l’état du corps reflète l’état de l’âme et les soins spirituels sont indissociables des soins du corps. La chapelle et la salle des malades vivent en quelque sorte en symbiose, favorisée par la situation de ces deux salles dans le prolongement l’une de l’autre.

Lors de votre visite vous  découvrirez la salle des malades, qui n’est a inspiré celle des Hospices de Beaune,  les pharmacies, , l’infirmerie des religieuses, leurs chambrettes, la chapelle, la salle des visiteurs et des pèlerins étrangers, le cabinet de la dame prieure  (la mère supérieure de la communauté) qui gérait l’hospice, recevait les familles des malades et tenait le livre des comptes, la bibliothèque et surtout le réfectoire entouré de l’une des plus belles collections d’Europe de tableaux illustrant la vie et la Passion du Christ. Enfin, l’Hôpital Notre-Dame à la Rose recèle une fascinante collection d’objets, d’ouvrages de recettes thérapeutiques et d’instruments médicaux à travers lesquels s’est écrite l’histoire de la médecine.

Et pour finir quoi de plus agréable après la visite que de s’installer sur la terrasse du bar/restaurant du musée.

Le site de l’ Hôpital Notre-Dame à la Rose

Les photos de notre visite

BOIS-DU-LUC Musée de la Mine

Bois du Luc

Le site minier du Bois-du-Luc, devenu le musée de la Mine et du Développement durable, classé patrimoine mondial à l’Unesco en juillet 2012, il recouvre l’ensemble des réalisations techniques et sociales de l’une des plus anciennes houillères de Wallonie : la Société des Charbonnages du Bois-du-Luc dont la naissance remonte à 1685 et la fermeture à 1973.

Bois-du-Luc est désormais l’un des sites les plus remarquables de l’ère industrielle de la région du Centre, de la Wallonie et même de l’Europe. Son histoire est celle de toute une région qui, pendant près de 300 ans, a palpité autour du charbon et du métal. Le bassin du Centre constitue en effet l’un des trois berceaux hennuyers – avec ceux de Mons et de Charleroi – de l’aventure charbonnière sur le sillon houiller Haine- Sambre-Meuse qui se prolonge jusqu’à la vallée de la Ruhr, en Allemagne.

Du sommet des terrils jusqu’au cœur de la cité ouvrière, Bois-du-Luc raconte la genèse de la Révolution industrielle, les conditions de travail et les dangers du travail dans la mine,  les luttes sociales, les conditions de travail des hommes, des femmes et des enfants, dont beaucoup étaient maghrébins, turcs, grecs, et italiens. ..de magnifiques brassages culturels.

Aux portes de La Louvière, la cité de Bois-du-Luc est un village minier à lui tout seul. Il présente un exemple remarquable d’ensemble architectural illustrant une période significative de l’histoire humaine. Le Bois-du-Luc comprend un ensemble de 166 maisonnettes flanquées chacune d’un potager, formant quatre blocs serrés les uns contre les autres et séparés par deux voiries perpendiculaires. Un café, une épicerie, un hospice et un hôpital complètent l’ensemble. Légèrement surélevé, le château du directeur-bâtisseur. Des générations de directeurs qui ont appliqué l’idéologie du paternalism étaient à la fois, protecteurs et patrons de cette cité ouvrière. À gauche de celle-ci, le puits d’extraction et le puits d’exhaure. À droite, les bureaux, les ateliers et les hangars. Une herse d’entrée assurait la protection de la cité.

Un site à ne pas manquer.

La gaufre, un des symboles de la Belgique.

La gaufre, un des symboles de la Belgique.

Le mot gaufre vient de « walfre » qui signifie « rayon de miel » en vieux français (XIIIe siècle). La waffle quoiqu’on en dise est bien née en Belgique. Elle est connue du Japon aux Etats-Unis.

Cette vieille demoiselle est une véritable « madeleine de Proust » pour tout belge. Elle nous ramène à des souvenirs heureux. Pour nous c’est les bonnes gaufres du mercredi après-midi sur la Grande Place de Braine-le-Château, lors du marché hebdomadaire.

Qui n’a pas résisté au parfum envoûtant de cette gourmandise.

L’authentique est-elle bruxelloise, légère et craquante avec ses carrés sagement rangés ? Ou liégeoise, plus consistante, à la cannelle ou truffée de sucre perlé ?

Une bonne gaufre qu’elle soit de Bruxelles ou de Liège ne laisse personne indifférent.

La différence entre ces deux gaufres est tout d’abord une question de forme et de trous. La gaufre de Liège, petite et arrondie a 24 trous, là ou la bruxelloise, plus grande et rectangulaire en a que 20. Mais ce que le connaisseur apprécie tout particulièrement dans la liégeoise sont les petits nids de sucre logés dans la pâte moelleuse qui croquent agréablement sous la dent et  lui donne cette saveur caractéristique un peu caramélisée.

De la rue ou de la maison,  dans un moule traditionnel ou moderne, hummm que c’est bon.

Qu’elle soit nature, nappée de fraises et de crème Chantilly, de chocolat, de sucre, …tout le monde y trouvera son bonheur.

La recette de la Gaufre de Liège :

Pour 15 gaufres

Préparation : 1 h
Cuisson : 5 min

  • 1 kg de farine
  • 75 g de levure
  • 5 dl de lait et eau (tempérés)
  • 50 g de sucre impalpable
  • 2 oeufs
  • 500 g de beurre
  • 50 g de miel, vanilline ou cannelle
  • 3 gr de bicarbonate de soude
  • 600 g de sucre perlé

Faire une pâte avec 800 g de farine, la levure, le lait et l’eau, le sucre impalpable et les oeufs.

Laisser lever pendant 15 minutes puis ajouter le beurre, le miel, 200 g de farine, le sel et la vanilline ainsi que le bicarbonate de soude.

Pétrir le tout pour obtenir une pâte homogène, laisser lever pendant 10 minutes dans un endroit tempéré. Ajouter ensuite le sucre perlé et diviser en pâtons de 90 à 140 g selon le fer. Laisser lever un peu.

Cuire à feu doux pour les grosses gaufres et à bon feu pour les fers à mailles peu profondes.

 

La recette de la gaufre de Bruxelles
Temps de préparation : 15 minutes

Temps de cuisson : 6 minutes

Ingrédients (pour 10 pièces) :

125 g de farine
5 oeufs
1 cuillère à café de sucre fin
25 cl de lait
1/2 gousse de vanille
75 g de beurre
sel
sucre glace
un gaufrier pour gaufres épaisses à grandes alvéoles, format intérieur approximatif du fer pour 1 gaufre 8,5 cm x 5,5 cm
Préparation de la recette :

Tamiser la farine.
Séparer les jaunes et les blancs des ?ufs en ne gardant que 4 blancs.
Faire fondre légèrement le beurre au bain-marie; il doit être liquide et à peine tiède.
Couper la gousse de vanille dans sa longueur et récupérer les graines.
Mélanger la farine, les cinq jaunes d’?ufs, le sucre fin, les graines de vanille, une pincée de sel, le lait et le beurre fondu.
Battre les 4 blancs d’?ufs en neige très ferme.
Incorporer les blancs en neige à la préparation. A faire très délicatement afin de ne pas briser la mousse.
Laisser reposer durant 45 minutes bien à couvert.
La pâte doit être un peu moins liquide qu’une pâte à crêpe.
Cuire les gaufres dans un fer bien chaud.
Dès que la ou les portions de pâte sont versées, il faut fermer le gaufrier et le renverser de suite pour avoir des gaufres régulières et gonflées.
Aussitôt que la gaufre est dorée sur les deux faces, la sortir du fer, la saupoudrer de sucre glace et servir très chaud.

 

Bon appétit

Le plan incliné de Ronquières

Le plan incliné de Ronquières est un ascenseur à bateaux monumental.

Le plan incliné de Ronquières fut construit entre 1960 et 1968 sur le canal de Charleroi-Bruxelles.

Il est situé à la limite de la province du Brabant et du Hainaut, à proximité de Braine-le-Château et du Gîte les Hauts du Foyau.

Sa construction faisait partie du plan général de modernisation du canal pour le porter à 1350 tonnes.

Comme le dit fort bien un ouvrage de l’époque, ici, « les bateaux vont sur des roulettes ».

Le plan incliné comporte deux bacs d’eau totalement indépendants de 91 mètres de longueur sur 12 mètres de largeur. Leur profondeur d’eau varie de 3 mètres à 3,70 mètres. Ils pésent environ 5600 tonnes. Ces bacs roulent sur des chemins de roulement en béton d’une longueur de 1440 mètres.

En résumé, le principe du plan incliné de Ronquières est fort simple. Equipé de puissants moteurs électriques, il permet aux  bacs de circuler le long du plan incliné et transporter les lourdes péniches.

En gravissant une pente de 68 mètres, le plan incliné de Ronquières permet l’économie de 18 écluses, d’un volume impressionnant d’eau et de près d’une journée de navigation à chaque péniche.

Il vous est possible de visiter cet ouvrage d’art et d’admirer le panorama époustouflant depuis le sommet de la tour, à 150 mètres de haut.

Plus d’information ICI

Pour le programme des visites ICI

Le tarte au maton.

Cette spécialité qui viendrait du moyen-âge est originaire de Grammont en Flandre Orientale.
Le mot « matte » que l’on retrouve dans d’anciens dialectes d’Allemagne, de France et de Flandre désigne le lait caillé .
Justement, la base du maton est un mélange de lait et de lait battu que l’on panache pour obtenir un fromage caillé.
On y ajoute des oeufs, du sucre et de la poudre d’amande que l’on pose ensuite sur une pâte feuilletée.
Quand nous résidions à Wauthier-Braine (entité de Braine-le-Château), une fermière faisait le tour du village dans sa camionnette et proposait en autres ce délice à la vente. Les enfants en raffolaient.
La tarte au maton est un produit protégé par l’Unesco et, depuis le 16 février 2007, par la Commission Européenne qui lui a octroyé le label de Produit Régional Européen.
Il existe plusieurs recettes. En Wallonie, elle est préparée sans poudre d’amande mais nous la préférons avec.

Voici sa recette.
Pour 5 personnes :

INGRÉDIENTS

Le maton
1 l de lait entier
0.5 l de lait battu
2 oeufs (séparés)
Une pincée de sel
100 g de sucre cristallisé
Un paquet de vanille en poudre (50 gr)
33 g de poudre d’amande
Essence d’amande (optionnel)

Pâte feuilletée
25 ml de lait
25 g de beurre (fondu)

PRÉPARATION

Portez le lait entier à ébullition tout en remuant et dès qu’il est prêt, versez immédiatement le lait battu.
Tournez pendant 20 minutes dans le lait bouillant; le lait sera alors caillé.
Filtrez le contenu de la marmite dans une ou au besoin plusieurs étamines et égouttez leur contenu, c’est-à-dire le maton, pendant environ 4 heures pour obtenir des matons plus humides.
Enlevez le maton du linge et déposez-le dans un large récipient.
Battez les blancs d’œufs en neige avec la pincée de sel et réservez.
Mélangez les jaunes d’œufs, le sucr, la vanille en poudre e à l’aide d’un fouet jusqu’à obtenir une masse lisse
Ajoutez  la poudre d’amande et  incorporez ce mélange au maton.
Selon votre goût, ajoutez de l’essence d’amande.
Incorporez les blancs d’œufs au maton à l’aide d’une spatule.
Faites fondre une petite quantité de beurre et tapissez-en les moules. Saupoudrez également un peu de farine.
Tapissez le fond des moules de pâte feuilletée. Percez la pâte de petits trous à l’aide d’une fourchette. Enlevez l’excès de pâte feuilletée avec la paume de la main.
Remplissez les moules de pâte à maton (pas à ras-bord).
Couvrez d’une couche de pâte feuilletée, appuyez bien sur les bords et ôtez à nouveau l’excédent de pâte.
Enduisez la partie supérieure des matons avec un peu de lait.
Pratiquez une petite ouverture au milieu à l’aide de ciseaux.
Enfournez les matons pendant 25 minutes dans un four préchauffé à 200° C.

Bon appétit.

Vous en trouverez le mercredi à la Boulangerie les Blés D’or à Braine-le-Château.

 

La « tarte al djote », une spécialité nivelloise

La « tarte al djote » fête cette année ses 800 ans.

Cette spécialité nivelloise à base de bettes et de fromage se déguste après avoir fait fondre du beurre salé sur la tarte chaude.

Elle est défendue par une confrérie qui veille à sa qualité en octroyant des labels aux fabricants.

La liste des maisons labellisées en 2018 ici

—————————————————————————————————————————————–

La recette

Les ingrédients
pour 12 tartes de 19 cm de diamètre
1. pour la pâte
950 g de farine de froment + 50 g pour « sécher » la pâte
250 à 300 g de beurre salé
40 g de levure fraîche (à délayer dans du lait tiède)
4 œufs entiers + 2 jaunes d’œuf
30 g de sel (1 bonne cuiller à soupe)
20 cl de lait
2. pour la makayance
2,4 kg de bétchèye (fromage de type « boulette de Nivelles »)
150 g de feuilles de bette (sans les cardes)
75 g de persil haché (sans les tiges)
4 oignons blancs de la grosseur d’une noix (+/- 150 g)
9 œufs entiers
8 g de poivre blanc (2 cuillers à café)
450 g de beurre de ferme salé fondu (couleur noisette foncée)
4 g de sel (1 cuiller à café)
Après avoir émietté le fromage, s’il n’est pas assez fait, on le laisse «graisser» près d’une source de chaleur en le remuant régulièrement.
Il doit obtenir une belle couleur dorée.
A bien surveiller et plus particulièrement par temps orageux !
La préparation
1. la pâte
Tamiser la farine pour la rendre plus légère.
Mélanger le sel à la farine.
Délayer la levure dans le lait tiède (et une pincée de sucre), la laisser germer.
Former une « fontaine », y verser les 4 œufs entiers et les 2 jaunes d’œuf.
Mélanger le beurre, consistance « pommade ».
Dans la farine, verser la levure.
Travailler la farine délicatement afin d’y incorporer le tout.
Bien pétrir jusqu’à l’obtention d’une pâte bien lisse.
Séparer la pâte en boulots de 150 g pour des platines de 19cm de Ø.
Laisser lever les pâtons sous un linge sec, à l’abri des courants d’air et près d’une source de chaleur.
2. la makayance
Séparer les feuilles de persil de leurs tiges.
Laver les bettes et le persil et les essorer.
Nettoyer les oignons.
Mélanger le fromage émietté avec les 9 œufs entiers et le beurre fondu chaud (couleur noisette foncée).
En dernière minute, hacher finement les légumes (bettes, persil, oignons) à la main.
Eviter le robot.
Malaxer le fromage avec les légumes, le sel et le poivre.
Rectifier l’assaisonnement si nécessaire.
3. les platines
Au rouleau, abaisser les pâtons au diamètre extérieur des platines.

Foncer délicatement la pâte dans les platines bien beurrées.
Piquer le fond de chaque tarte à l’aide d’une fourchette.
Etaler la makayance sur une épaisseur de +/- 8 mm.

Cuire +/- 10 minutes à four préchauffé à 200°C jusqu’à ce que la croûte soit dorée.
Eviter de brunir le fromage par une cuisson trop longue.
Après cuisson, retirer immédiatement les tartes des platines.
Les déposer sur des claies afin de pouvoir sécher.
Le service
Servir les tartes bien chaudes nappées de beurre de ferme salé.
Bon appétit …

 

La Liqueur du Mont Sainte-Croix

Vieille liqueur anciennement fabriquée à Braine-le-Château : la Liqueur du Mont Sainte-Croix a été relancée par Gelin Vins Sa.

La liqueur du Mont Ste Croix de Braine-le-Château, produite artisanalement au sein même de la commune, est distillée à base de plantes du Mont Ste Croix selon une recette traditionnelle.

Affichant une teneur en alcool de 45°, elle est proche de la Chartreuse, à laquelle elle n’a rien à envier, se révélant plus douce et plus sucrée en bouche. Trait particulier? Une branche de bruyère cristallisée au sucre anime l’intérieur de la bouteille de 75 cl

Cette liqueur est devenue aussi célèbre que le Pilori de Braine-le-Château.

Devise sur l’étiquette : « Point n’est besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. »

 

Vins Gelin

Rue de Tubize 51, Braine-le-Château

Téléphone : 02 366 91 48